L’ultimate n’est pas encore sport olympique (soupir !). Ça ne m’a évidemment pas empêché de regarder les JO de Paris. Comme je suis un passionné de sport, j’ai passé un temps impressionnant (selon mon entourage) à vibrer devant les retransmissions du basket (mon autre passion) mais aussi du judo, du tennis de table, de la natation, du rugby à sept, du volley, etc. 

Tous ces exploits sportifs, toutes ces médailles, les encouragements du public, c'est un vrai shoot d'énergie. ça motive pour les championnats du monde.

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Avant l’été, l’équipe de France participe à deux tournois internationaux. Nous ne sommes pas au top à Fribourg. En revanche, alors que nous avions terminé 7e l’an dernier du Windmill 2023, nous terminons 2e du Windmill 2024, en perdant la finale contre la Tokay SuperTeam (une équipe constituée de « stars » de l’ultimate mondial). Une performance encourageante pour les championnats du monde, qui montre que nous pouvons rivaliser avec les meilleurs.